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Provocation 1, contrat 0 : l’art de perdre son job en une leçon.

Cette affaire concerne le licenciement pour faute grave de M. [Y] [O], directeur d'agence pour une société.


M. [Y] [O] a été licencié après avoir été accusé de plusieurs manquements graves, notamment d'avoir agressé un technicien de maintenance, de ne pas avoir respecté les obligations de sécurité, et d'avoir défié l'autorité de son employeur en adoptant une attitude provocatrice, notamment en affichant une batte de baseball avec une inscription déplacée sur la porte de son bureau.


Le Conseil de Prud'hommes de Versailles avait initialement jugé que le licenciement était sans cause réelle et sérieuse et avait condamné la société à verser des indemnités importantes à M. [Y] [O].


Cependant, la Cour d'appel de Versailles a infirmé cette décision, estimant que les faits reprochés constituaient bien une faute grave justifiant le licenciement.


La Cour a rejeté les demandes d'indemnisation de M. [Y] [O] et l'a condamné aux dépens.




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